Le sénateur Horizons Joël Guerriau fait face à des accusations de la part de la députée MoDem Sandrise Josso, l’accusant de l’avoir volontairement droguée dans le but de la manipuler à son domicile parisien, le mardi 14 novembre. Les résultats d’une analyse sanguine ont révélé la présence d’ecstasy chez la députée, corroborant ainsi sa déclaration. De manière troublante, cette même substance a été découverte chez le sénateur incriminé, qui nie catégoriquement les allégations portées à son encontre.
Le sénateur Joël Guerriau est suspecté d’avoir administré une substance stupéfiante à une députée dans le but de l’agresser sexuellement, lors de la soirée du mardi 14 novembre. Les faits se seraient déroulés au domicile du parlementaire, situé dans le 6ème arrondissement de Paris, à proximité du Sénat. La victime présumée est Sandrine Josso, députée du parti MoDem. Elle a expliqué aux enquêteurs avoir ressenti un malaise lors de cette soirée en sa compagnie. De l’ecstasy a été détectée dans son sang lors de son hospitalisation.
La drogue en question a également été retrouvée chez Joël Guerriau lors de la perquisition menée à son domicile. L’intéressé nie toute tentative d’empoisonnement et évoque une absorption accidentelle de la substance alors qu’il buvait un verre. Le bureau politique du parti Horizons, auquel il appartient, doit aborder ce sujet le samedi 18 novembre. « Nous aurons bien évidemment l’occasion de discuter de cette situation. Si l’un de ces éléments s’avère être vrai, il devra en assumer les conséquences », a déclaré Christophe Béchu, membre du parti et ministre de la Transition écologique, lors d’une interview sur France Inter, laissant ainsi la porte ouverte à une possible exclusion de Joël Guerriau du parti Horizons.
source informationnelle : francetvinfo.fr
rédaction : intelligence artificielle