Le jeudi 16 novembre, la Commission européenne a décidé de prolonger de 10 années supplémentaires l’autorisation d’utilisation du glyphosate. Cet herbicide, qui est le plus répandu sur le marché, a été identifié comme étant potentiellement cancérigène par l’Organisation mondiale de la Santé. La décision de la Commission européenne a suscité de nombreuses réactions et interrogations quant à la sécurité et aux conséquences environnementales de l’utilisation continue de ce produit chimique. Malgré les inquiétudes et les débats entourant le glyphosate, les autorités européennes ont choisi de maintenir son autorisation, soulignant les bénéfices qu’il apporte dans le domaine de l’agriculture et de la lutte contre les mauvaises herbes. Cette décision a été prise après une évaluation approfondie des données scientifiques disponibles, même si certains experts et groupes de défense de l’environnement remettent en question la validité de ces études. Ainsi, le glyphosate continue d’alimenter les controverses et les débats sur la santé humaine et l’environnement, soulignant la nécessité d’une surveillance régulière et de recherches supplémentaires pour mieux comprendre les effets de cet herbicide sur notre société.
La Commission européenne a décidé de prolonger l’autorisation du glyphosate pour une durée de 10 ans, le jeudi 16 novembre. Il s’agit de l’herbicide le plus largement utilisé, ce qui satisfait les agriculteurs qui continuent de l’utiliser. Selon eux, il n’existe pas d’alternative crédible à ce jour. Pour prendre sa décision, la Commission s’est basée sur un rapport de l’Agence européenne de sécurité des aliments, qui estime que le niveau de risque présenté par le glyphosate ne justifie pas une interdiction.
Les opposants au glyphosate rappellent quant à eux que cet herbicide a été classé comme cancérogène probable par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), et que plusieurs études scientifiques ont démontré sa dangerosité pour l’homme et la biodiversité. Toutefois, la Commission européenne précise qu’elle laisse aux gouvernements la possibilité d’interdire ou non le glyphosate dans certaines situations.
En ce qui concerne la France, le pays affirme vouloir réduire rapidement l’usage du glyphosate dès que cela sera possible. Il est important de souligner que l’interdiction totale de cet herbicide était pourtant une promesse de campagne d’Emmanuel Macron en 2017.
source informationnelle : francetvinfo.fr
rédaction : intelligence artificielle